«Voilà la réalité en  -10 000 avant J.-C., nous étions 1 million d’habitants sur Terre. En l’an 1 nous étions 200 millions. En 1800 : 1 milliard. En 1900 : 1,5 milliard. en 2000 : 6 milliards, et nous sommes actuellement 7,5 milliards…» dit le professeur François Pasternak (tiré de l’article de Libération.

http://www.liberation.fr/planete/2015/11/25/bernard-werber-le-dernier-courage_1416081

Le monde évolue et avec lui la masse populaire. Ce qui signifie une plus grande responsabilité des Etats qui doivent assurer la protection de sa population que ce soit dans les domaines de la santé, éducation, alimentaire et habitation.

Plus la population subit une forte croissance, plus les sacrifices au niveau de la nature ne sont importants.

Nous parlerons principalement de la démographie dans tous ses aspects en Amazonie.

Avec une population de plus de 750 millions d’habitants, les défis semblent bien difficiles.

Dans le cas de l’Amazonie, la perte spectaculaire en forêt se manifeste par le besoin constant d’infrastructures dans les cadres d’aménagements en matière d’agriculture et d’urbanisation. Une augmentation de la population entraîne toujours de grands investissements. En effet, les demandes en logements subissent des hausses proportionnelles à l’augmentation de la population, ces personnes ont besoin de se déplacer ce qui conduit l’agrandissement constant des villes et régions qui poussent de plus en plus profond dans la forêt.

Les routes (la route transamazonienne qui relie le Pérou à l’Atlantique mesure 4.223 km), les barrages et les grandes plantations sont les résultats de ce que représente la présence de l’homme dans ces territoires qui sont source de vie et de refuges pour plusieurs espèces mais aussi cultures car des hommes, des tribus y sont installés depuis des siècles dans ces forêts mais sont en danger permanent de disparition en même temps que la forêt amazonienne du fait de l’activité humaine. On pourrai donc qualifier ce phénomène qui suivra si prise de conscience ne se fait pas de “Génocide Culturel” car toute une existence serait anéantit juste par profit de grandes puissances ou entreprises à fortes influences sans scrupules pour la plupart sachant que le marché forestier représente 600 milliards de dollars du PIB mondial de quoi faire n’importe quoi donc…

Ces cinq dernières années, 2 millions d’hectares de forêt ont été perdu en Amazonie.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/09/08/20002-20150908ARTFIG00384-l-agriculture-et-l-urbanisation-continuent-de-detruire-les-forets-du-monde.php

L’Amazonie source de vie et de profit reste donc partagée entre l’appât du gain et défense de la nature et peuple des forêts.

Avec la forêt, les fleuves aussi sont concernés par les activités humaines avec les constructions de barrages qui ont des répercutions terribles sur l’environnement au niveau de la faune et de la flore mais aussi pour les peuples vivant sur les rives de fleuves en prenant exemple sur la catastrophe survenu au Brésil  suite à la rupture d’un barrage entraînant une coulée de boue toxique dans les eaux le 5 novembre dernier.

Il ne faut pas oublier non plus l’exploitation illégale du bois et des ressources naturelles qui sont aussi sources d’extinction d’espèces végétales et animales et surtout facteur de pollution à cause des moyens utilisés pour les trafics.