top of page

LES INDIENS DE L'AMAZONIE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les forêts tropicales abritent parmi les dernières tribus indigènes du globe. En 1500 plus de 9 millions d'autochtones peuplaient l'Amazonie. De nos jours ils ne sont plus que 350 000... C'est un véritable désastre !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En coupant les arbres, nous détruisons ces peuples et en même temps leur culture, leurs connaissances, leur science. L’humanité prend le risque de se priver de ce savoir. Plus de 1 000 tribus vivent dans les forêts vierges tropicales. La majeure partie d’entre elles est en voie d’extinction, luttant contre les envahisseurs qui pénètrent sur leurs terres illégalement. Leur disparition provoquerait la perte de tout leur patrimoine culturel mais aussi d’un savoir-faire dont le monde moderne a encore besoin aujourd’hui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La faune et la flore comestibles sont rares dans la forêt amazonienne. Cependant, les Indiens ont su s’adapter à cet univers complexe et tirer parti de sa diversité. Ils se déplacent en fonction des ressources forestières et s’adaptent aux capacités de régénérescence du lieu où ils s’installent. Ils subsistent principalement grâce à la chasse, la pêche et la cueillette. Dans les sociétés traditionnelles, les Indiens dépendent entièrement, beaucoup, peu ou à peine de leurs cultures. Certains cultivateurs itinérants plantent des semences qu’ils laissent se développer seules et reviennent quelques mois plus tard pour la récolte. D’autres cultivateurs sont plus sédentaires. Les Indiens d’Amazonie pratiquent la culture sur terres déboisées et brûlées depuis des millénaires. Conscients de la fragilité de leur environnement, les parcelles qu’ils laissent en jachère sont suffisamment petites pour que la jungle se reconstitue d’elle-même.  On a pu remarquer que les jardins abandonnés par les Indiens depuis plus de quarante ans sont deux fois plus riches en espèces que les terrains environnants. Les pratiques de gestion traditionnelle permettraient donc aux ressources de se renouveler tout en satisfaisant les besoins des Indiens. Au contraire, les défrichements massifs voués aux plantations et aux pâturages ne permettent pas à la forêt de se régénérer. Les habitants de la forêt vierge la considèrent comme une terre nourricière, et non comme une menace.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Toutes les activités qui font venir des hommes en Amazonie apportent aussi des maladies contre lesquelles les Indiens ne sont pas immunisés, et l’alcool, qu’ils ne supportent pas. Malgré les promesses d’action, le gouvernement tarde à expulser les chercheurs d’or, mineurs et autres occupants illégaux des territoires indiens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La survie des Indiens et la survie de la forêt ne font qu’un. Il y a quelques décennies, il y avait tellement de forêts que les deux n’étaient pas nécessairement liées. Mais aujourd’hui l’une protège l’autre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’espoir de trouver de nouveaux remèdes à nos maladies, et surtout la santé de la planète tout entière est remis en question. Mais pour combien de temps encore ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Please reload

nashley jugurnauth

© 2023 by Name of Site. Proudly created with Wix.com

  • Facebook App Icon
  • Twitter App Icon
  • Google+ App Icon
bottom of page